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Silence radio depuis des lustres. Et pourtant, que d'éléments incroyablement palpitants dans mon existence! Quelle égoïste je fais, ne pas étaler tout ça ici avec mon exhibitionnisme habituel! Laissez-moi réparer l'affront:

-Overdose de Weepies, entre-autres.

Dans un élan de générosité ultime, je vous colle en lien la quasi totalité de leur discographie. YOUHOU. (Non, sans rire. Ecoutez-les. Ces deux-là se classent dans mon top 5 personnel, j'y suis absolument accro.)

=>Leur myspace

=>Leur page wikipédia

-Overdose de Scrubs.

Je me sens comme qui dirait en parfaite osmose avec JD, le personnage principal (joué par le génialissime Zach Braff.).

Un seul commentaire à son sujet: EEEAAGGLLLEEEEEEE!

Ajoutez à cela une pléiade de personnages plus barrés les uns que les autres: Turk et ses chorégraphies (qui ne manquent pas de m'inspirer car, oui, j'ai la danse dans le sang.), Dr Cox et ses noms de filles, Ted l'avocat et son groupe a capella , Tod et ses high-five perpétuels , the Janitor, Bob Kelso, Carla, Elliot et tous les autres... Sujet à développer après les examens. Réjouissez-vous.
Bref: j'ai besoin de mes épisodes quotidiens, au risque de devenir agressive. Et c'est à peine exagéré. En période de bloque, la moindre contrariété prend des proportions... légèrement excessives.
Scrubs compte 8 Saisons, dont la dernière venant tout juste de se finir. Autant dire que j'ai encore foutu n'importe quoi: commencé par les saisons 7 puis suivi de manière hebdomadaire la saison 8 en cours, tout en me refaisant la série depuis la saison 1. Vous suivez? La série s'est définitivement terminée il y a quelques jours, avec un dernier épisode qui, je l'avoue, moi reine des glaces, femme de roc et d'acier (hum bis), m'a carrément donné les larmes aux yeux. Ce qui m'amène au point suivant:

(=>Pour jeter un coup d'œil à la série, une fois SEULEMENT que vous serez entré en possession de l'intégralité des DVDs des 8 saisons, et ce de manière parfaitement légale (kof kof) ! Non mais. )

-Overdose de "The Book of Love", chanson magistralement interprétée par Peter Gabriel et utilisée dans les 5 dernières minutes du dit-épisode à fort potentiel lacrymal. N'ayant jamais jusqu'ici eu l'occasion de prêter l'oreille (voire quoi que ce soit d'autre, pour être franche) à ce sympathique Peter (ce à quoi j'ai cependant bien l'intention de remédier, la période de torture passée!), il m'a fallu quelques temps (6 sec 1/2, gloire à toi, Google.) pour retrouver l'interprète de la mélopée divine. Enfin, tout ça pour dire qu'elle fait désormais partie de deux de mes clubs très privés: celui de mes chansons fétiches et celui de celles qui figureront obligatoirement à mon potentiel et très hypothétique mariage. En première danse, point final. N'me reste plus qu'à dégotter un malheureux qui n'aura rien contre P.G. Ou quelqu'un d'extrèmement docile, ça marche aussi...

Et, en apothéose de ce florilège d'informations renversantes:

-Overdose de pâte à tartiner au spéculoos.

400g en 5 jours, j'entame le niveau suivant: le pot de 700g. Olé. Doit y avoir quelque chose de diabolique avec cette substance, je ne vois pas d'autre explication (Le stress. La gloutonnerie chronique. Un diabète sous-jacent?).

Vualà, vualà. Sur-ce, je regagne au pas de course mon lit bien-aimé dont l'appel bienveillant me parvient à l'oreille, malgré l'étage nous séparant. Demain, lever aux aurores (9h. Haha.) pour le premier jour de ce qui s'annonce un calvaire. Un CAL-VAIRE.

Rdv le 19 et, sur-ce, poteaux de tous bords: BON COURAGE! Forz'e coraggio, comme le diraient ces charmants méditerranéens dont l'idiome reste une plaie à mes yeux.

Charge, breathe your final breath.

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