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lundi 17 mars 2008

St Patrick's Day



Gloire à toi, fière et verdoyante Erin!



Pour fêter l'évènement (qui est aussi un tout petit peu le mien, puisque Patricia fait partie de mes prénoms... Patrick, Patricia... Comment ça, "légèrement tiré par les cheveux" ?): orgie de cookies et de jus d'orange. On ne se refuse rien, dites-moi...


Par contre, concernant le bouquin irlandais à lire pour aujourd'hui (sur une idée du club des théières), je crains que ce ne soit mort, enterré, mais en voie de résurrection (on remarquera avec admiration l'habile parallèle avec la Pâques à venir...)! Non par cause de fénéantise (ça aurait pu, mais nan.), que du contraire. A J-4 du départ pour l'Equateur, je suis criblée de boulot pour le goulag. Un TFE bien costaud en anglais ("the American Roaring twenties") avec pour accompagnement celui sur le Yoga pour gym... Le tout assaisoné de deux charmants tests de période (physique et chimie, les matières que notre Seigneur inventa un jour d'égarement et qu'Il doit depuis regretter amèrement, j'en suis persuadée.), avec, cerise sur le gateau: "primitives et intégrales", le cata mathématique qui manquait à mon accomplissment spirituel. Yepeh.


Donc, pour ce qui est du poteau Oscar et son meurtre aux 12 chandelles, j'en suis à la page 104, sur 385. Re-yepeh!

Par contre, je pense bien qu'il remportera l'insigne honneur de m'accompagner dans mon périple sud-américain.


Le voyage et ses préparatifs, additonné donc à tous le travail scolaire à boucler, m'empêcheront de revenir ici avec des plombes. Genre 3 semaines.


RDV le 7 avril, si mon avion n'a pas rejoint trop viollement le plancher des vaches. Et surtout: si ma tête ne s'est pas faite outrageusement réduire par une foule de villagois amazoniens peu joviaux. Inutile de le dire: le risque est faible.


Quoi que?




Quoi qu'il en soit, hypra tchüss und knuffels à tous, et Hasta Luego!
........
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Quand on parle d'avion qui se crashe... Yeats et "An Irish Airman Foresees his Death"
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"I know that I shall meet my fate
Somewhere among the clouds above;
Those that I fight I do not hate,
Those that I guard I do not love;
My country is Kiltartan Cross,
My countrymen Kiltartan's poor,
No likely end could bring them loss
Or leave them happier than before.
Nor law, nor duty bade me fight,
Nor public men, nor cheering crowds,
A lonely impulse of delight
Drove to this tumult in the clouds;
I balanced all, brought all to mind,
The years to come seemed waste of breath,
A waste of breath the years behind
In balance with this life, this death."

...

(cliquotte-moi)

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Doctor Who.